La théorie de l'électrofaible

La théorie de l'électrofaible permet de résoudre un problème de mathématique car il faut qu'elle soit normalisable.
La première étape est faite par la théorie de jauge, les interactions sont modelées par des particules bosons de jauge: le photon,w+ et w- et Z°, les deux premiers étant de l'interaction faible.
Il faut postuler l'existence d'une nouvelle particule le boson de Higgs et qu'il se produise à cause de celui ci, un mélange entre l'électromagnétisme et l'électrofaible d'où le nom de la théorie électrofaible.
Et cette théorie ne prédit pas la collision des neutrinos qui donne les courants faibles chargés, et, celle du courant faible neutre (en donnant dans le premier cas, un boson W- et l'autre, un Boson Z° à partir d'un neutron muomique et un quark d°) mais une fois que ces proportions sont connues, elle permet de calculer plus précisément la masse de bosons de jauge et on en déduit la masse de W et de Z.
Il manque le boson de Higgs pour affirmer cette théorie...

La renormalisation
La probabilité pour qu'une particule, interagissent avec d'autres ou avec elle même, aille d'un point à un autre, se calcule en sommant a moyen d'une intégrale
Cependant, au fur et à mesure que les itinéraires potentielles des médiateurs d'interaction deviennent plus foisonnants en évènement de création-annihilation, l'énergie qu'ils portent augmente, les intégrales divergent et aboutit à des énergies des masses ou des charges infinies.
Pour éviter ces valeurs infinies on utilise la renormalisation, elle consiste à conserver les valeurs infinies en soustrayant des quantités auxiliaires qui tendent parallèlement à l'infini
Cette curieuse méthode a aboutit à des précisions corroborées avec l'expérience et rendre compte l'anomalie du spectre d'hydrogène appelée le décalage de Lamb.
Elle sert de guide pour la théorie quantique des champs comme la théorie unifiée electrofaible