Superposons à l'onde lumineuse inconnue une onde plane de même fréquence perpendiculaire à la surface du détecteur qui interfèrent avec celle ci. L'intensité lumineuse sur la pellicule varie sinisoidalement avec une période spatiale identique à celle de la phase de l'onde inclinée initiale.
On enregistre donc sur la pellicule, une image, appelée interferogramme, qui contient l'information de la phase de l'onde inconnue et qui permet de remonter à celle ci par un traitement appropriée par exemple numérique.
Pour cela il faut d'abord développer la pellicule, on obtient alors une diapositive appelée hologramme, dont le coefficient de transmissions varient sinusoïdalement c'est ce qu'on appelle un réseau de diffraction en transmission dont la propagation est de dévier la lumière d'un angle dépendant de la longueur d'onde et de la période spatiale ou pas du réseau.